El Agua


C’est l’été dans un petit village espagnol du sud-est. Une tempête menace de faire déborder à nouveau la rivière qui le traverse. Une ancienne croyance populaire assure que certaines femmes sont prédestinées à disparaître à chaque nouvelle inondation, car elles ont « l’eau en elles ». Une bande de jeunes essaie de survivre à la lassitude de l’été, ils fument, dansent, se désirent. Dans cette atmosphère électrique, Ana et José vivent une histoire d’amour, jusqu’à ce que la tempête éclate…


Ingrédient de vie et de mort

Note : 3 sur 5.

De tous les éléments les plus indomptables, l’eau, résolument vitale pour l’Homme comme outil ou pour subsister, nous cache encore bien des mystères. Pour son premier long-métrage, Elena López Riera s’empare des légendes urbaines de son village natal, qui sommeillent dans la rivière, pour en faire une chronique sur l’adolescence, celle des premiers amours et des premiers tourments.

El Agua libère la parole féminine et suggère fatalement qu’une émancipation dépend des liens que l’on tisse. Ces ficelles seront pour la plupart du temps trop visibles pour nous, mais tout ce qui compte au fond, c’est un peu de foi et d’amour, un peu de documentaire et de fiction. En somme, tout cela réunit, c’est la définition d’un rêve éveillé et le résultat est suffisamment envoûtant pour qu’on ne boive pas la tasse.”


Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné : El Agua : ingrédient de vie et de mort.

Catégories :Drame, RomanceTags:, , , , ,

Laisser un commentaire

%d blogueurs aiment cette page :