Evil Dead Rise


Alors que Beth n’a pas vu sa grande sœur Ellie depuis longtemps, elle vient lui rendre visite à Los Angeles où elle élève, seule, ses trois enfants. Mais leurs retrouvailles tournent au cauchemar, quand elles découvrent un mystérieux livre dans le sous-sol de l’immeuble, dont la lecture libère des démons qui prennent possession des vivants…


La tour de la terreur

Note : 3 sur 5.

“Le mal ne meurt jamais, tout comme le petit diablotin qui a donné l’impulsion à Sam Raimi et sa saga Evil Dead. Ce « Rise » est loin de sonner faux dans son approche du gore jouissif, là où l’écriture semble plus convenue.”

“Ce genre de « remake du remake » reste une incantation qui porte encore ses fruits dans une entreprise qui n’hésite pas à verser autant de litres de faux sang qu’il faudra. Et malgré des faiblesses évidentes, qui ne contournent aucun cliché, il s’agit ici d’un simulacre du dernier volet, sans pour autant s’éloigner des codes qui font d’Evil Dead Rise une honnête série B, celle qui tâche l’écran d’un plaisir gore, et que les fans apprécieront peut-être autant que l’impérial The Sadness l’an passé. C’est pourquoi Cronin pense à laisser le Necronomicon ouvert pour de potentielles nouvelles sensations.”


Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné : Evil Dead Rise : la tour de la terreur.

Catégories :Epouvante/HorreurTags:, , ,

4 commentaires

  1. Produit par Sam Raimi ?
    Je ne le blame pas de faire du business avec sa création, mais très honnêtement, “Evil Dead” sans Sam Raimi c’est à mes yeux un film de possession de plus sur une trop longue liste. Je m’étais essayé au remake précédent, qui versait des megalitres de sang mais qui n’avait aucun sens. Alors celui-ci…

    • Comme pour le précédent remake, toujours Sam Raimi et Bruce Campbell à la production.
      Si je comprenais l’envie de réinvestir le premier degré horrifique et gore en 2013, on sentait qu’on ne pas réinventait pas la poudre. Mais étrangement, le plaisir y était sachant que le film fonctionnait très bien en miroir de l’original.
      Évidemment si ce programme ne t’a pas convaincu, aucune chance que ce dernier cru (le plus faible) t’enchante, car on tourne en rond dans le même train fantôme, qui mise justement sur ses mégalitres de sang le temps de clins œil osés et pas toujours bien amenés. Sa véritable force est dans sa violence graphique qui continue malgré tout à secouer le spectateur dans un siège qui rétrécit rapidement.

      • Alors non merci. Le précédent avait été pour moi un supplice dans tous les sens du terme.
        Je crois que si me vient une soudaine envie de sang neuf, j’irai plutôt chercher mon bonheur dans le cirque de Terrifier 2. 🤡

      • C’est vrai que j’attends toujours de découvrir les dernières oeuvres d’Art 😁

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