Un homme revient sur l’idyllique plage de son enfance pour faire du surf avec son fils. Leur escapade tourne au cauchemar lorsqu’un gang de surfeurs du coin leur interdit l’accès à l’océan. Humilié et menacé, le père de famille va devoir se battre pour reconquérir son territoire et l’estime de son fils. Sur cette plage à l’atmosphère étouffante, s’engage alors une lutte qui le mènera au cœur de la folie.

La mer des gangs
« Présenté en séance de minuit au Festival de Cannes dans une ambiance de feu, The Surfer offre un spectacle amusant, divertissant et un peu psychédélique. Quand Nicolas Cage croise la route d’une bande de surfers désobligeants et agressifs, c’est un lent et douloureux chemin de croix qui s’annonce. Surfer, c’est souffrir. Et souffrir, c’est surfer. »
« Le réalisateur Lorcan Finnegan a précisé qu’il avait souhaité mettre en scène « l’expérience subjective d’un homme qui essaye de se réconcilier avec lui-même ». Sur l’écran, cette lente réconciliation nous fait vivre des moments de tension, de rire, entre réalité, rêve et hallucination. On prend donc un malin plaisir à contempler le grand Nicolas Cage sacrifier sa personne et se battre, à coups de poing, contre ce gang de surfeurs gavé de testostérone particulièrement détestable. Si The Surfer n’est certainement pas le film cannois que l’on retiendra, il offre un bon moment de détente qui ne se refuse pas. »
Retrouvez l’intégralité de l’article sur Le Mag du Ciné.






Laisser un commentaire