Dans la forêt landaise, une famille se transmet, de génération en génération, les secrets du feu. Sous les yeux des animaux, les jours et les nuits se succèdent. Le père, Patrick, mange de l’herbe. La fille, Margot, explose. L’enfant, Jean, programme des bouquets de lucioles.

Le feu sacré
« En parallèle des sélections officielles cannoises, l’ACID met également en lumière des œuvres et des artistes indépendants. Autant dire que les fusées lumineuses captées par Mona Convert ont également attiré l’attention de l’association. Dans son documentaire, la réalisatrice nous emmène au cœur de la forêt des Landes de Gascogne, berceau d’activités pyrotechniques qui justifieraient toute la noblesse et la beauté d’Un pays en flammes. »
« Chaque occasion de brûler les cieux est une manière pour eux de célébrer la vie. Et pour Margot, plus que pour les autres, il s’agit de se nourrir d’adrénaline. C’est justement tout le paradoxe du feu qu’elle manipule et qui relève de sa personnalité. Depuis que le flambeau lui a été transmis par son père, elle met ses connaissances pratiques à l’épreuve, allumant la mèche qu’elle tient d’une main ferme. Dans les faits, c’est ce que l’on peut supposer car Mona Convert laisse de la place dans son cadre pour que le spectateur puisse lui-même le remplir. C’est justement de cette manière que les images de la cinéaste, parfois surréalistes, peuvent surprendre et déconcerter. »
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