Un chat perdu, une grenouille géante volubile et un tsunami aident un attaché commercial sans ambition, sa femme frustrée et un comptable schizophrène à sauver Tokyo d’un tremblement de terre et à redonner un sens à leurs vies.


Le point de rupture

Note : 3.5 sur 5.

« Qu’est-ce que la création si ce n’est un amalgame plus ou moins perceptible de notre imaginaire ? Saules aveugles, femme endormie y répond et Pierre Földes interroge le fond de l’humanité à travers une animation, toute aussi imparfaite, où gravitent des personnes ordinaires, qui ont en commun cette rupture avec leur réalité et leur quotidien routinier. »

« « Les blessures émotionnelles représentent le prix à payer pour être soi-même ». Haruki Murakami touche une vérité universelle dans ces mots, pleine de grâces et de sagesses. C’est ainsi que Saules aveugles, femme endormie nous apparaît, sans début ni fin pour encapsuler la maestria qui opère sous nos yeux. Il s’agit de les ouvrir entièrement, afin de les diriger vers soi et de prendre conscience d’un nouveau chapitre qui s’ouvre, avec ou sans point de chute. »


Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné : Saules aveugles, femme endormie : le point de rupture.

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