La vie d’un jeune couple est bouleversée quand le mari devient somnambule et se transforme en quelqu’un d’autre la nuit tombée. Sa femme, submergée par la peur qu’il fasse du mal à leur nouveau-né, ne trouve alors plus le sommeil…


La peur du sommeil

Note : 3.5 sur 5.

« Pas le temps de bailler ou de ronfler avec Sleep, présenté à la Semaine de la Critique, où l’ancien assistant de Bong Joon-ho nous livre un premier long-métrage qui a de quoi donner des frissons, de jour comme de nuit. »

« Un ronflement en appelle un autre. Le film s’ouvre ainsi, dans la pénombre d’une chambre, où le somnambulisme du mari (Sun-kyun Lee) devient inquiétant. Sa femme (Yu-mi Jung), qui n’est pas loin d’accoucher de leur enfant, devra alors gérer les tourments des nuits à venir, car son mariage ne tient qu’à un fil. »

« Sleep se révèle être une bonne surprise, un huis clos bien rythmé, quand bien même Jason Yu ne sait pas comment exploiter ses ellipses, autrement que par un chapitrage en trois actes distincts. Cerise sur le gâteau, le dédale psychologique, dans lequel le spectateur se verra enfermé, sera l’endroit idéal pour méditer sur la charge mentale des protagonistes, qui s’aiment et qui se soutiennent aveuglément. »

Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.


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